Vendredi 15 septembre 2006 à 18:18

On fait tous face à des échecs dans la vie, il paraît que ce qui ne tue pas rend plus fort... Les échecs nous font réfléchir sur nous même, ils nous obligent à une remise en question totale. Souvent après un échec on se dit qu'on est nul, qu'on arrirvera jamais à rien ce qui est faux... L'échec est une épreuve, une très dure épreuve à surmonter, mais on est capable d'y arriver, on est aussi capable de trouver des solutions pour remédier à cet échec. Il faut juste croire en soi, ce qui peut-être très dur mais c'est dans ces moments là qu'il faut se battre, ne pas désespéré et avoir confiance en soi parce-que sinon on lâche tout et on perd pied.

Si on ne se bat pas on peut faire une dépression, on peut se renier ou encore faire des choses qui ne nous intéressent pas. L'échec c'est la vie qui nous teste à sa façon, en nous faisant mal, pour nous dire que l'on s'est trompé de voie ou qu'il faut redoubler d'efforts pour avoir ce que l'on veut... La vie est dure, elle peut paraître dure parfois, mais elle a toujours été comme cela, elle ne changera pas c'est à nous à nous adapter à "ses coups de gueule" et à les surmonter avec l'aide des personnes qui nous sont chères...

Il y a des personnes qui seront toujours là pour nous soutenir dans les moments les plus difficiles et c'est dans ces moments qu'il faut compter sur elles...

Voila un échec c'est dur, dégueulasse, mais on ne peut rien contre la vie même si on voudrait modifier la donne alors on subit mais on se bat aussi pour réussir à accomplir notre vie, et une fois passés les échecs semblent petits alors que lorsqu'on est dvt ils semblent infranchissables... Il faut se dire que ce ne sont que des tests, des épreuves et qu'ils nous rendent plus forts même si sur le moment on pense que l'on est pas capable d'y arriver...

La vie nous met à l'épreuve comme si elle n'était pas assez dure comme ça...

source image:http://crcerror.wordpress.com/files/2006/02/cover-oeil.jpg

Jeudi 14 septembre 2006 à 23:07

C'est la fin de l'été, une fin qui laisse mélancolique. L'été 2006 ca aura été l'été du Bac, des délivrances.

Un été plein d'émotions, des pertes, des rencontres magiques parfois, des liens qui se créent... Vivre sans contraintes, faire ce que l'on veut... Mais toutes les bonnes choses s'achèvent comme si la vie devait retrouver son court normal... Il y a tous ces moments auxquels je repense qui dessinent un sourire sur mes lèvres.Il y a toutes ces personnes qui ont croisées ma route le temps d'une soirée, d'une semaine ou d'une vie..Il y a eu toutes ces discussions interminables qui pouvaient durer une nuit, tous ces débats, tous ces rires, tous ces pleurs, toutes ces fêtes... 

Il y a des moments où on est si bien qu'on aimerait qu'il ne finisse jamais, il y a des étés que l'on oubliera pas comme celui la. Il y a des personnes que l'on aimerait avoir près de soi toute sa vie, mais on ne sait pas comment ca va se passer.

Un été c'est court, ça passe tellement vite, chaque moment semble avoir duré une seconde!!

Jeudi 14 septembre 2006 à 22:36

Auschwitz le synonyme de l'horreur absolue, un des lieux où l'on a peur de pénétrer et surtout un lieu dont on a une vision personnelle et subjective.

Rentrer dans Auschwitz c'est faire un pas décisif, c'est rendre concret tout ce que l'on a vu, tout ce que l'on a lu et tout ce que l'on nous a expliqué.

C'est un lieu choc où les moindres détails d'une machine de mort infernale sont exposés. Quand on est à l'intérieur on a à la fois envie de pleurer et de vomir, c'est le partage entre la tristesse et le dégoût.

Les choses que l'on nous expose on ne les aurait jamais imaginé ou peut-être que l'on aurait préféré ne pas les voir.

Comment voulez-vous réagir face à une salle entière remplie de cheveux HUMAINS ?

Au départ, on ne veut pas y croire jusqu'à ce qu'un détail nous choque et nous fasse réaliser ce que l'on a sous les yeux. Imaginez vous des expositions gigantesques de cheveux, de chaussures, de valises, d'habits… qui s'étalent sur des mètres et des mètres comme si cela était sans fin.

Le plus choquant était le besoin même d'utiliser chaque corps pour fabriquer divers objets, c'est l'industrialisation de la mort, la mort ne devait pas être vaine elle devait absolument servir à quelque chose.

Auschwitz c'est un musée de l'horreur, chaque salle, chaque baraquement vous en fait découvrir une nouvelle.

Comme par exemple, la salle de stérilisation chaque femme était un cobaye humain, c'était bien mieux que des rats de laboratoire. On enlevait à toutes ces femmes leurs chances d'avoir un enfant et tout cela pour arriver à des conclusions scientifiques… Certaines de ces femmes n'avaient guère plus de vingt ans…

Aujourd'hui toutes ces horreurs sont inimaginables, mais pourtant un jour elles ont existé, aussi cruel que ça puisse paraître, et cela il ne faut jamais l'oublier.

Auschwitz c'est un lieu plein de regards qui vous suivent et qui vous choquent. Visiter Auschwitz c'est porter le regard lourd et douloureux des détenus, qui comprenaient enfin qu'il n'y avait pour eux qu'une solution prévue : la mort, ou le regard enjoué plein de vie, d'espoir des enfants déportés qui dès leur arrivée au camp était tué un a un certains n'étaient encore que des bébés.

Auschwitz vous regarde en disant à chacun : « Voici où nous a mené la folie d'un homme, d'un seul homme. »

Ce regard, on le porte comme un fardeau durant tout le temps de la visite.

Le plus terrible pour moi a été de rentrer dans une chambre à gaz. Je pense que si j'avais eu le choix je ne l'aurais pas visité.

Nous sommes tous rentrés dans une pièce où des milliers, si ce n'est pas des millions, d'hommes ont trouvé la mort en souffrant terriblement, les traces d'ongles dans les murs en témoignent.

J'ai honte d'avoir visité cette salle comme seulement une partie d'un musée, elle est bien plus que ça c'est la pièce de mise à mort de millions d'homme et de femme, j'étais vraiment mal à l'aise comme si moi aussi j'allais y passer, ce lieu pue la mort : elle y est toujours présente.

Elle est présente dans les deux camps.

On ne pourra sûrement jamais expliquer comment les nazis ont pu commettre des actes aussi terribles mais ce qui est certain c'est que ces hommes sanguinaires auraient du tous être punis à la hauteur de leurs crimes, comme à Nuremberg, et que l'on aurait pas du en laisser un seul fuir.

Auschwitz Birkenau est un lieu immense qui fait très peur car c'est ce camp qui oeuvrait au dessein de la solution finale. On a beaucoup de mal à percevoir cet endroit rempli de boue, où la seule odeur que l'on pouvait humer était celle de la chair humaine brûlée et avec une fumée noirâtre qui voilait le ciel.

A chaque pas que vous faîtes un homme est mort à cet endroit précis, on a vraiment l'impression de marcher dans les traces de millions de prisonniers rabaissaient au plus bas stade de la déshumanisation.

Les conditions de vie et d'hygiène étaient déplorables (froid, boue, portions de nourriture insignifiantes, poux, rats, se laver à 4000 en cinq minutes dans des latrines qui contenaient tout au plus 50 personnes…)

Les chambres à gaz étaient immenses, elles pouvaient assassiner en quelques minutes un millier d'hommes, il y en avait quatre.

Les faux semblants qu'utilisaient les nazis pour mener les juifs vers la faucheuse étaient particulièrement cruels et barbares.

Quand ils entraient au camp, les hommes devenaient des numéros, des êtres hybrides il n'y avait plus de distinctions physiques possibles entre les hommes et les femmes, ils devaient manger dans leur gamelles comme des chiens ils n'étaient plus des hommes ils devenaient des marionnettes au main nazis qui avaient tous les droits sur elles et qui les ont fait joué pendant quatre ans dans le théâtre de la mort perpétuelle Birkenau.

Imaginez ce massacre perpétuel d'être humain, imaginez la destruction morale et physique, imaginez les règles imposées qui n'en sont pas : imaginez l'INIMAGINABLE.

Je pense qu'il n'y a pas de mot adéquat pour décrire cette horreur car elle est indescriptible, Birkenau c'est le mécanisme qui provoque une mort sure et certaine.

Tous ces prisonniers ont eu l'existence la plus dramatique qu'il soit donné de vivre à un être humain.

Quand on visite un tel endroit, on ressent du dégoût, de la colère, et beaucoup de révolte.

Comment cela a pu exister ? Comment quelques individus ont pu briser des millions de vie ?

Auschwitz Birkenau semble aujourd'hui irréel et pourtant un jour un homme, un seul homme Hitler a créé et a fait exister cette machine à tuer.

Hitler a mis toute son intelligence au service d'une œuvre machiavélique qui n'aurait jamais du exister. Les nazis n'ont pas agi seuls en un moment donné la population a élu Hitler et a donc sa part de responsabilité dans ce massacre.

Pourtant l'humanité n'aurait jamais du permettre cela, a-t-on réellement besoin d'avoir vécu une telle boucherie pour ce rendre compte de ce qui est abominable ?

Ce qui est atroce n'aurait jamais du être connu.

Ces endroits sont les symboles de l'horreur. Il faut les voir, au moins une fois dans sa vie, pour prendre conscience de la réalité des choses et surtout pour prendre conscience de l'ampleur de l'horreur nazie. J'espère que l'humanité ne revivra jamais de telles horreurs et que les hommes réagiront face aux menaces (Hitler en 1933).

Nous appartenons tous à la seule race qui existe : la race humaine. Que l'on soit noir, blanc, jaune, tzigane, juif, mulsuman, catholique, handicapé, homosexuel, hétérosexuel nous sommes tous pareils, nous sommes tous égaux et nous devons toujours rester libres.

Ces deux valeurs, que l'on a enlevées à Auschwitz à tous ces hommes, l'égalité et la liberté sont essentielles à l'être humain et il faut que nous nous battions pour les garder à tout jamais.

Aujourd'hui encore, dans certaines guerres, elles sont bafouées mais il faut se battre, dénoncer, quelquefois perdre la vie pour les défendre et tous être prêt à faire cela si l'on veut conserver tous nos droits.

Jeudi 14 septembre 2006 à 22:16

L'espoir

Une étincelle dans ses yeux, noircis par les douleurs,

La faim, le combat, les maladies,

Une toute petite lueur,

Dans un corps rongé par la famine,

Qui prouve qu'il vit encore

Ce rayon de soleil qui le pousse à penser, à parler, à réfléchir, à être, à devenir,

Qui le pousse à survivre.

Cet astre devant lequel vous êtes fascinés

Et qui, pourtant, est en chacun de nous.

C'est lui qui fait battre notre cœur quand nous rencontrons l'amour,

C'est lui qui nous donne la force d'affronter chaque jour,

C'est lui qui nous garde en vie quand nous combattons un échec.

La vie est perverse, chaque jour qui passe

Elle joue avec moi, avec vous , avec le monde

Elle nous fait souffrir en provoquant des guerres

Elle nous abîme en nous brisant le cœur,

Elle nous met à l'épreuve en nous demandant de nous surpasser sans cesse.

Mais c'est grâce à lui qu'elle ne nous achève jamais,

Grâce à lui, notre feu intérieur,

Qui réchauffe le corps que l'on essaye de tuer,

Ou que l'on laisse mourir,

Pour effacer les noirs moments de notre vie,

Pour tout oublier et voguer sur le long cours de notre existence,

Elle notre seule croyance que l'on ne peut nous voler, elle, l'espérance.

Jeudi 14 septembre 2006 à 21:42

Il y a des choses dans la vie que l'on explique pas. Il y a des choses qui changent et sur lesquelles on a aucun pouvoir. Il y a des choses qui nous font mal, il y a des choses dont on se fiche.

La vie est un changement éternel, les changements qu'elle entraîne font notre évolution. Ces changements nous font mal, mais peut être qu'il faut passer par la souffrance pour évoluer.

On aimerait que les choses restent comme elles sont quand nous sommes heureux mais le bonheur est quelque chose d'éphémère.

Arriver a être heureux est le but de beaucoup de personnes mais il est si incertain, c'est un but impossible. Alors pourquoi le cherchons nous sans cesse ?

Quand on est heureux tout paraît si simple, si facile, on sourit a la vie mais elle nous joue des tours…

Il y a des changements qui n'ont pas lieu d'être, qui nous révolte et pourtant c'est comme ça, on ne peut rien y faire on accepte et on continue notre vie.

On fait semblant d'être heureux, on fait semblant de ne pas remarquer ces changements mais un jour il se pose en face de nous et nous les voyons. Et la c'est terrible.

Pourquoi a-t-on autant peur du changement ?

Pourquoi aimons-nous tant la stabilité ?

Pourquoi vivons-nous pour souffrir ?

Pourquoi vivons-nous pour mourir ?

Tellement de questions qui se bousculent et qui malheureusement resteront sans réponse, parce que personne ne peut y répondre.

Il y a des changements qui nous font mal… c'est comme ça on y peut rien. On n'a pas de pouvoir sur tout en fin de compte on a un tout petit pouvoir, un minuscule pouvoir parce que l ‘on ne peut même pas contrôler sa vie. Pourtant elle est à nous, toute entière, chacun de ses instants nous appartient, mais on a aucun contrôle sur celle-ci. C'est terrible d'accepter ça, on est des êtres sans aucun pouvoir, qui subissent sans cesse le cour que prend leur vie.

La vous pourriez me dire mais on contrôle notre vie par nos choix, ce qui est totalement faux.

A chacun de nos choix il y a des conséquences que l'on n'avait pas prévu, alors où est le contrôle ?

Si on contrôlait tout on saurait exactement ce qui va se passer, mais on n'est jamais sur de rien…

On se croit pourtant si fort alors que nous sommes faibles nous laissons notre existence aux mains d'un inconnu qui lui contrôle tout.

Alors ou est le pouvoir de ce cher être humain qui aimerait tout contrôler ?

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