Jeudi 17 février 2011 à 1:44

Sur un fond de Sexual Healing, je pense à mon départ. Partir c'est une sensation étrange, on part à la fois pour de bonnes et de mauvaises raisons. Une page se tourne, une fin dans la continuité. Je l'ai fait partir à des milliers de kilomètres, être bien, me débrouiller, découvrir, travailler. Je me sens heureuse, probablement différente en un sens. Je me sens exister intensément. J'aime cela. Ce soir un peu de nostalgie pour tout ce que je laisse derrière sans l'oublier, pour tous ceux que je ne veux pas perdre, pour tous ceux qui me manquent et à qui je pense d'ici.

Vendredi 14 janvier 2011 à 2:12

Récemment, j'ai geeké beaucoup puisque je suis allée à la rencontre de ce chef d'oeuvre télévisuel qu'est The Wire.
The wire se centre sur la ville de Baltimore selon différents point de vue celui des flics, des trafiquants, des drogués, des enseignants, des politiques ect... La toile de fond: la drogue qui lie indirectement tous les personnages directement ou indirectement mais qui n'est pour autant pas le sujet même de la série.  A travers l'objectif, D. Simmons capture la misère, la violence, l'injustice constante, il nous livre la réalité de Baltimore à travers une analyse sociologique sans pareil, un génie.
Je n'en dirais pas plus sur cette série, difficile à résumé ou à décrire, si vous n'avez pas tenté l'expérience allez y ^^ Moi je songe à me désintoxiquer ;-)

Jeudi 9 décembre 2010 à 20:39

 Douce utopie que l’enfance, un monde sans limite aucune, un temps trop court de liberté totale. Par la suite, tout devient encodé par des normes et des valeurs sociales, chaque comportement est faussé. L’obligation de devenir quelqu’un, une partie de cette société, un individu qui répond à des normes, des valeurs et une culture commune à tous. Un individu identifié par une position sociale. Un individu qui choisit de se laisser emprisonner, qui choisit de tuer l’enfant qui vit en lui, pour s’offrir un confort de vie. Je refuse tout simplement ce système. 

Lundi 12 juillet 2010 à 19:59

 Ca fait longtemps que je ne m'étais plus sentie comme ça. Vide, intouchable, insensible avec cette peur qui me bouffe le ventre inlassablement. Dur d'affronter les jours qui passent et se ressemblent. Je pensais que cette part obscure m'avait quittée, la voilà qui revient plus forte que tout. Ne plus savoir qui je suis, ne plus savoir ce que je ressens, ne plus rien savoir, juste écouter cette angoisse constante. Cette vie n'est pas la mienne.

Samedi 19 décembre 2009 à 13:55

Une soirée de partage, où le temps semble s'arrêter sur un sourire figé. Une soirée rythmée par les rires, les confidences. Une soirée comme il faisait longtemps que l'on en avait pas faite, et qu'est ce que ça fait du bien! Merci les filles pour ces instants de bonheur!

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