Lundi 12 octobre 2009 à 21:47


 Ce soir il me manque, j'aimerais sentir son odeur, le serrer dans mes bras, m'électrifier à son contact. J'aimerais juste l'avoir près de moi parce qu'il est simplement magique. Il donne à chaque moment une intensité particulière.

Il y a longtemps j’avais écrit cela :

  « Je veux du rêve, je veux du rêve au quotidien, je veux décoller et ne plus jamais atterrir, je veux du sexe explosif. Si vous n'avez pas tout ça, je vous dirais juste que vous n'avez pas trouver la bonne personne."

Aujourd'hui, je l'ai.

Mercredi 16 septembre 2009 à 23:46

 Avec lui, je suis allé voir Inglourious Bastards, je me suis promené sur le boulevard des pyrénées, on a mangé une immense glace, puis on a regardé Eternal Sunshine of the Spotless Mind. Avec lui, je parle beaucoup, peut être trop, mais j'arrive à communiquer. On vit des moments de complicité, on rigole beaucoup. Avec lui, je me sens pleinement moi, avec lui je suis bien. Avec lui, c'est magique.

C'est beau les débuts... I'm simply happy

Dimanche 6 septembre 2009 à 2:31

Quelquefois j'aimerais pouvoir croire...
J'aimerais effacer les doutes pour la vérité, j'aimerais effacer le pessimisme qui m'empêche d'espérer, j'aimerais pouvoir croire en l'autre, en moi, en la vie...
J'aimerais avoir été moins déçue, moins déchirée, moins à fleur de peau. Quelquefois, j'aimerais que l'on m'ait moins menti, trahi, j'aimerais pouvoir accorder ma confiance sans me poser de questions. Ce n'est pas possible, peut être que ça n'est tout simplement plus possible, comment croire en l'autre? Comment croire en un début qui serait heureux?
Comment croire en l'autre en ne disant pas et si...
S'il me mentait, s'il voyait quelqu'un d'autre...
Ne rien dire, ne rien dire ruminer et faire comme si.
Comme si ça ne m'atteignait pas, comme si je ne doutais pas de lui, comme si je croyais profondément en ce début après tout ce que j'ai traversé.
Ne rien dire et attendre quelque chose qui ne viendra jamais, qu'il ne me donnera jamais, et que pourtant j'aimerais connaître.
J'aimerais pouvoir croire en lui sans me poser de questions, ce n'est plus possible, en un moment donné on perd sa crédulité, on perd son innocence, on arrête de vivre dans un monde où tout est rose. On intègre le noir, la souffrance comme constante!

Assistez simplement à une dissection de mon cerveau.

Jeudi 27 août 2009 à 0:31

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Flot de pensées qui tournent et retournent sans fin, toujours essayer de comprendre, de se comprendre sans y parvenir.
Essayer d'analyser une situation, chaque situation pour finalement que tout s'emmêle.


Avoir un cerveau en ébullition, qui ne s'arrête jamais, qui finit par tout entraîner dans un toubillon. Plus rien n'est clair, tout se mélange, mais la pensée, elle continue. Elle est souvent chargée en émotions d'un espoir irréalisable, de vérités introuvables, de peurs inavouables, de tentations invivables... Elle ne cesse jamais.


Puis, on prend conscience. On prend conscience du problème: de ce que l'on a mal fait, de ce que l'on a pas fait du tout, ou de ce que l'on aurait du faire. Les regrets soufflent doucement sur notre vie mais ils n'arrêtent pas la pensée.




Tout mettre à distance, oublier, mettre un instant, juste un instant le cerveau en mode off, et trouver le repos.





Est que la vie est réellement compliquée ou s'amuse-t-on à se compliquer la vie?


Jeudi 20 août 2009 à 20:44

http://indira.cowblog.fr/images/blog2.jpg


C’est dur  de renoncer à l’espoir que l’on a fondé sur une personne, c’est dur de renoncer à nos idéaux, c’est dur de renoncer à une chose que l’on croyait sincérement fondé. Renoncer c’est en une façon abandonner l’autre, le laisser seul face à ses propres choix. On le fait pour différentes raisons, on le fait souvent parce que l’on en arrive en un point où l’on est détruit par l’autre. Alors, pour ne pas avoir seulement des ruines à offrir à quelqu’un d’autre on renonce parce qu’à un moment donné on devient plus important que l’autre, instinct de sauvegarde de soi meme, quelque part instinct de survie.

On a peur de renoncer à l’autre, on a peur de se retrouver seul, on a peur de ne pas pouvoir assumer notre choix, mais on sait toujours, au fond, que l’on fait le bon choix pour nous et pour l’autre.

On sait que l’on trouvera quelqu’un de mieux, de plus adapter, qui sera apte à nous comprendre dans notre ensemble.

Alors oui, on renonce en attendant mieux, en espérant mieux, et un jour on sait que ce mieux se présentera.


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